« Taurus était aussi grand que le Cimmérien, mais plus massif ; il avait beau être gras et bedonnant, chacun de ses mouvements trahissait un magnétisme dynamique et subtil, que l'on retrouvait dans ses yeux perçants, brillant de vitalité en dépit de la faible clarté des étoiles. Il était pieds nus et portait ce qui ressemblait à une corde mince et solide, repliée sur elle-même et nouée à intervalles réguliers. »
Robert E. Howard - La Tour de l’Éléphant